Le décalage horaire me transforme en grand-mère dans une collocations de jeunes.
À 20h30 je suis au lit, à 6h du matin je suis levée. Le soir, indifférente à la fiesta générale,
je traverse le salon bruyant avec ma tisane. Le matin, quand tout le monde cuve,
je peins tranquille sur la terrasse. J'ai l'impression d'être un ovni.