Nous grimpons finalement l'étage qui nous sépare de Bira Kassé. Il nous montre son travail,
et nous sommes étonnées de la qualité de ses peintures, comme il l'est de celle de nos croquis.
Nous sommes un peu gênés d'admettre que de son côté comme du notre, le préjugé négatif
a été le premier réflexe. Il nous offre le thé. Mais les bonnes surprises ne s'arrêtent pas là :
dans la pièce juxtaposée à l'atelier, nous découvrons une vue magnifique sur la place du marché.