Arrivée à Brindisi, je prends la route vers l'extême sud des Pouilles : le Salento.
Les villages se succèdent le long d'une nationale bordée de murets de pierres, d'herbe sèche et d'oliviers noueux.
Sur un papier chiffoné glissé sous le pare-brise, j'ai noté : «Chez Francesco, Gagliano del Capo.»