Quand je dis «la ville», je parle d’un endroit où la nature existe. Uppsala est couverte de forêts de grands pins
où se baladent quelques rennes perdus. On peut grimper des colines, on marche, on respire.
La neige recouvre tout et la lumière vient du sol.
À travers les fenêtres carrées d’un châlet en bois, nous regardons les enfants d’Uppsala glisser sur des luges.
Nous réchauffons nos mains sur des mugs en croquant des cristaux de neige en sucre.
Magali : Je trouve que mes théières sont plates…
Sophie : Dessine les objets comme s'ils étaient transparents pour comprendre leur volume.
L'ouverture d'une théière est une ellipse : dessine là entièrement, tu gommeras après.