On a retrouvé Deepak Tamang, notre vieil ami originaire de Golphu Banjyang.
En douze ans il a grossi, on a vieilli, mais on est heureux de se retrouver. 

 

« Le séisme était d’une telle violence qu’à certains moments, aucune partie
de mon corps ne touchait le sol. Nous connaissons tous des victimes.
Ça a été un grand choc, les mentalités ont changé. Maintenant,
on voudrait profiter de la vie. » 

 

Il nous explique les problématiques de la reconstruction de l’école Siddharta.
Il faut un permis délivré par l’État, des normes antisismiques doivent être respectées.
Mais certains points restent obscurs.

 

Demain, nous partons à la montagne pour mieux comprendre.