12/03/2016 12:00

Sangue Lama, le fils de la Didi et du Yap, est aussi un copain.
On l’a connu enfant, on le retrouve jeune adulte.

Il était étudiant à Katmandou quand le tremblement de terre a détruit la maison de ses parents.
Il est revenu vivre au village pour les aider. « Je n’ai pas le choix ».

Il a envie de parler avec nous, mais son anglais est plus dur à comprendre : 
il n’est pas passé par la case malaisienne. Pour nous faire rire il chante, 
il danse, et fait des selfies.
 
 
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